Poésie écrite le mercredi 20 mai 2015.
Amis(es)
poètes, vous qui avez existés bien avant moi,
Vous
qui avez couché votre belle âme sur le papier,
Et qui avez par votre plume asséché l'encre de vos
pensées,
Je
salue vos ouvrages qui par vos écrits sont venus jusqu'à
moi.
Vos
mots m'ont enchanté, m'ont ému, m'ont troublé,
Je
suis resté figé par la réflexion que vous m'avez
suggérée,
J'ai
grandi, j'ai évolué, j'ai même ri et j'ai
soupiré.
Car
votre poésie a effleuré mon âme, m'a touchée
et fait espérer.
D'autres
écrits, sordides peuvent conduire dans la fosse de l'abime,
Dans
l'ultime déchéance de la nuit noire fâcheuse et
morbide.
Mais
les vôtres, par votre formule, conduisent dans le sublime,
Par
le doux, le léger, le passionné, le raffiné ;
l'absence du vide.
Vos
écrits jaillissent par votre âme en somnolence,
Un
sommeil éveillé où l'ombre tapisse votre muraille.
Je
vois votre espérance où la bougie consumée
enflamme le silence,
Où
les mots sur le papier, votre plus beau visage, écume sans
failles.
Les
âmes pleuvent par milliers de mille,
Elles
offrent leur talent, leur vie, leur mémoire.
Le
temps fertilise les œuvres qui s'éparpillent,
Mais
des hommes et des femmes en connaissent leur Histoire.
Un
jolie piano qui joue dans une grande pièce,
Des
notes magiques qui jaillissent comme des mots.
De
superbes poésies qu'ici et là naissent et renaissent,
Au
fin fond des siècles chantent au-delà des tombeaux.
Et
mon espérance en vous,
Amis
(es) poètes de votre éternité,
Chevauche
mon âme à pas feutré.