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20_grece_antique

Ancienne civilisation d'un grand peuple à l'immense richesse,
Culturelle, sociale, démocratique, politique et philosophique.
Reine de tous les savoirs, cette très chère et belle Grèce,
Aux mille noms qu'elle porta jadis de ces constructions mirifiques.

Temples, colonnes et colosses de statuts se dressèrent devant elle,
Telle une deuxième Egypte mais d'un grand Grec au soleil Levant.
Toges blanches et étoffes plissées sur de beaux corps robustes et rebelles,
De ces villes : Athènes, Corinthe, Sparte, Argos, Thèbes, et ces habitants.

Tu portes sur ton sol des noms les plus illustres de ton Histoire,
Homère, Socrate, Pythagore, le grand disciple de Platon Aristote.
Hippocrate, le dramaturge Sophocle ou bien encore Hérodote.
Ils ont créés la politique, la science, la philosophie sur ton territoire.
 

La démocratie fut créée par Clisthène ce merveilleux homme d'Etat,
Le grand Parthénon fut construit par le démocrate orateur Périclès.
La mer Egée si bleue, si calme offre une belle vue aux grecs de là-bas,
Et ces bateaux remplis de marchandises rentrent au port à Ephèse.

Athènes, ville de l'antiquité, la rayonnante, la merveilleuse, la grande où naquit ta
superbe mythologie. Athènes, rappelle toi de cette histoire, rappelle toi où jadis :

Le Roi Acrisios jeta sa fille Danaé et son enfant à la mer,
Zeus rentra dans une vive colère et fit sauver les condamnés.
Poséidon les sauva. Libéra le monstre titanique Kraken de son repère,
Afin de détruire pour jamais la ville d'Argos de ses pêchés.

Persée et sa mère vécurent de beaux jours sur l'ile de Sériphos,
Sur les plus beaux rivages durant une vingtaine d'années.
Zeus, décida de prendre en charge la destinée de Persée,
Et punit de difformité le roi des marécages Calibos.
 

Mais la déesse Thétis, par vengeance déposa le fils de Zeus Persée,
En des contrées bien lointaines sous d'autres cieux prêt de Joppé.
Les dieux forgèrent pour Persée de sublimes et divines armes,
Pour accomplir sa mission de libérer Andromède de ses cauchemars.

Il fut aidé de son ami Amon et d'un cheval ailé du nom de Pégase,
Et délivrèrent Andromède après avoir mené un combat contre Calibos.
La reine Cassiopée prononça des paroles imprudentes qui embrasent,
Thétis exigea la vie de la princesse après l'insulte en son temple grandiose.
 

Andromède doit être conduite d'ici trente jours au rocher sacrificiel,
Tel est le sacrifice qu'ordonne Thétis au monstre titanesque Kraken.
Aidés de trois sorcières et d'une chouette Boubo créée par les dieux du ciel,
Ils vont défier la Méduse Gorgone lui ôter la vie pour tuer le Kraken.

Mais un simple regard de la Méduse et change les créatures en pierre,
Elle se trouve sur l'ile, l'ile de la mort à la limite extrême de l'enfer.
Aidé par des soldats vaillants et courageux de la Reine Cassiopée,
Persée alla sur l'ile de la mort, trancha la tête de Méduse ensanglantée. 

Puis il emporta la tête de Méduse, combattit Calibos puis le vaincu,
Délivra le cheval ailé Pégase prisonnier du marécage, puis s'envola,
Contrer le Kraken, Brandit la tête de la Gorgone à sa face où il mourut,
Puis délivra des chaines sa bien aimée Andromède puis l'épousa. 

Ils vécurent ensemble et eurent de très beaux et magnifiques enfants,
Persée fut vainqueur puisqu'il triompha de tous les obstacles,
Mais aujourd'hui, que reste-t-il de la mythologie et des oracles ?
Les cieux par les étoiles portent leurs noms à jamais dans le firmament.

Ainsi se finit cette histoire de la Mythologie grecque !

La Grèce antique connue hélas sa fin par des conflits à répétions fratricides,
Il fallait conquérir d'autres terres, vaincre ses ennemis les plus farouches,
Mais sur les terres gisaient des corps mutilés et sans vie, comme des homicides,
Et les femmes éplorées, s'occupaient seules de leurs bébés dans leur couche. 

Socrate, père spirituel de la philosophie, de la morale et de la politique,
Son enseignement servit à Platon et à Xénophon tous deux disciples du maitre.
Il est un rebelle en cette époque cruelle, difficile et bien plus que dramatique,
Vêtu de pauvres vêtements il côtoie de simples citoyens de sa bouche ouverte. 

Mais ses propos sont loin de faire l'unanimité auprès des autorités,
Aussi est-il condamné à mort par le poison et ce devant ses disciples.
Est-il plus que courageux de porter trop tôt ce qu'on appelle la vérité ?
Quand celle qui dérange devient pour des hauts placés juste un périple. 

Qu'ai-je dis ? Qu'ai-je fais ? En ces lieux où mes pieds n'ont point foulés,
Qu'ai-je construit ? Qu'ai-je bâtis pour que des pierres se gravent dans mes rêves ?
Quel non portai-je jadis ? Quelle toge ornait sur mon corps peut-être musclé ?
Etai-je un écrivain , un roi, un penseur, un philosophe ou un paysan sans trêves ? 

Ah ! Ne cherches pas en moi une vie, bien trop lointaine,
Où ma mémoire s'effiloche au gré du temps et de l'oublie.
Il me reste néanmoins gravé en moi des images sans peine,
Par des convictions plus que mémorables des souvenirs indéfinis. 

Ha ! Ma Grèce antique, sache cela de tout cœur ma douce et bien aimée,
Mon âme est éprise de toi. De tes sages philosophes, de ta démocratie,
De ton décor sublime, de tes colonnes somptueuses qui me font rêver,
Tes beaux rivages, tes plages, tes mers et ton soleil jusqu'au royaume de Phénicie.



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