Ancienne civilisation d'un
grand peuple à l'immense richesse,
Culturelle, sociale,
démocratique, politique et philosophique.
Reine de tous les savoirs,
cette très chère et belle Grèce,
Aux mille noms qu'elle
porta jadis de ces constructions mirifiques.
Temples, colonnes et
colosses de statuts se dressèrent devant elle,
Telle une deuxième Egypte
mais d'un grand Grec au soleil Levant.
Toges blanches et étoffes
plissées sur de beaux corps robustes et rebelles,
De ces villes : Athènes,
Corinthe, Sparte, Argos, Thèbes, et ces habitants.
Tu portes sur ton sol des
noms les plus illustres de ton Histoire,
Homère, Socrate, Pythagore,
le grand disciple de Platon Aristote.
Hippocrate, le dramaturge
Sophocle ou bien encore Hérodote.
Ils ont créés la politique,
la science, la philosophie sur ton territoire.
La démocratie fut créée par
Clisthène ce merveilleux homme d'Etat,
Le grand Parthénon fut
construit par le démocrate orateur Périclès.
La mer Egée si bleue, si
calme offre une belle vue aux grecs de là-bas,
Et ces bateaux remplis de
marchandises rentrent au port à Ephèse.
Athènes, ville de
l'antiquité, la rayonnante, la merveilleuse, la grande où naquit ta
superbe
mythologie. Athènes, rappelle toi de cette histoire, rappelle toi où jadis :
Le Roi Acrisios jeta sa
fille Danaé et son enfant à la mer,
Zeus rentra dans une vive
colère et fit sauver les condamnés.
Poséidon les sauva. Libéra
le monstre titanique Kraken de son repère,
Afin de détruire pour
jamais la ville d'Argos de ses pêchés.
Persée et sa mère vécurent
de beaux jours sur l'ile de Sériphos,
Sur les plus beaux rivages
durant une vingtaine d'années.
Zeus, décida de prendre en
charge la destinée de Persée,
Et punit de difformité le
roi des marécages Calibos.
Mais la déesse Thétis, par
vengeance déposa le fils de Zeus Persée,
En des contrées bien
lointaines sous d'autres cieux prêt de Joppé.
Les dieux forgèrent pour
Persée de sublimes et divines armes,
Pour accomplir sa mission
de libérer Andromède de ses cauchemars.
Il fut aidé de son ami Amon
et d'un cheval ailé du nom de Pégase,
Et délivrèrent Andromède
après avoir mené un combat contre Calibos.
La reine Cassiopée prononça
des paroles imprudentes qui embrasent,
Thétis exigea la vie de la
princesse après l'insulte en son temple grandiose.
Andromède doit être
conduite d'ici trente jours au rocher sacrificiel,
Tel est le sacrifice
qu'ordonne Thétis au monstre titanesque Kraken.
Aidés de trois sorcières et
d'une chouette Boubo créée par les dieux du ciel,
Ils vont défier la Méduse
Gorgone lui ôter la vie pour tuer le Kraken.
Mais un simple regard de la
Méduse et change les créatures en pierre,
Elle se trouve sur l'ile,
l'ile de la mort à la limite extrême de l'enfer.
Aidé par des soldats
vaillants et courageux de la Reine Cassiopée,
Persée alla sur l'ile de la
mort, trancha la tête de Méduse ensanglantée.
Puis il emporta la tête de
Méduse, combattit Calibos puis le vaincu,
Délivra le cheval ailé Pégase
prisonnier du marécage, puis s'envola,
Contrer le Kraken, Brandit
la tête de la Gorgone à sa face où il mourut,
Puis délivra des chaines sa
bien aimée Andromède puis l'épousa.
Ils vécurent ensemble et
eurent de très beaux et magnifiques enfants,
Persée fut vainqueur
puisqu'il triompha de tous les obstacles,
Mais aujourd'hui, que
reste-t-il de la mythologie et des oracles ?
Les cieux par les étoiles
portent leurs noms à jamais dans le firmament.
Ainsi se finit cette histoire de la Mythologie grecque !
La Grèce antique connue
hélas sa fin par des conflits à répétions fratricides,
Il fallait conquérir
d'autres terres, vaincre ses ennemis les plus farouches,
Mais sur les terres
gisaient des corps mutilés et sans vie, comme des homicides,
Et les femmes éplorées,
s'occupaient seules de leurs bébés dans leur couche.
Socrate, père spirituel de
la philosophie, de la morale et de la politique,
Son enseignement servit à
Platon et à Xénophon tous deux disciples du maitre.
Il est un rebelle en cette
époque cruelle, difficile et bien plus que dramatique,
Vêtu de pauvres vêtements
il côtoie de simples citoyens de sa bouche ouverte.
Mais ses propos sont loin
de faire l'unanimité auprès des autorités,
Aussi est-il condamné à
mort par le poison et ce devant ses disciples.
Est-il plus que courageux
de porter trop tôt ce qu'on appelle la vérité ?
Quand celle qui dérange
devient pour des hauts placés juste un périple.
Qu'ai-je dis ? Qu'ai-je
fais ? En ces lieux où mes pieds n'ont point foulés,
Qu'ai-je construit ? Qu'ai-je
bâtis pour que des pierres se gravent dans mes rêves ?
Quel non portai-je jadis ?
Quelle toge ornait sur mon corps peut-être musclé ?
Etai-je un écrivain , un
roi, un penseur, un philosophe ou un paysan sans trêves ?
Ah ! Ne cherches pas en moi
une vie, bien trop lointaine,
Où ma mémoire s'effiloche
au gré du temps et de l'oublie.
Il me reste néanmoins gravé
en moi des images sans peine,
Par des convictions plus
que mémorables des souvenirs indéfinis.
Ha ! Ma Grèce antique,
sache cela de tout cœur ma douce et bien aimée,
Mon âme est éprise de toi.
De tes sages philosophes, de ta démocratie,
De ton décor sublime, de
tes colonnes somptueuses qui me font rêver,
Tes beaux rivages, tes
plages, tes mers et ton soleil jusqu'au royaume de Phénicie.