le_reflet_de_l_ame
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17_charme_et_beaute

Dis, dans la foule, regardes-tu les filles ou bien les garçons ?
Dis, as-tu sentis ma douce présence parmi tous ces gens ?
Dès que je t’aperçois à l’aube de mon bel horizon,
Mon cœur chavire et je deviens timide comme un enfant.
 
Laisse parler les sentiments qui honorent ton existence,
Laisse exprimer ce que dictent les mouvements de ton cœur.
Non, ne joue surtout pas de tes actes par ton imprudence,
Au racoleur allumé qui renie coûte que coûte la douleur.
 
Tu as beau te mouvoir et montrer ton joli corps moulé,
Tu interpelles mon désir et attires ma braise ardente.
Mais n’espère pas que je rougisse sans l’effort de t’aimer,
Pour venir à toi pour ne plus être une image tremblante.
 
Je sais, que je subis les rayons magnifiques de ton aura,
Car tu m’as ensorcelé par ta superbe magie blanche.
Mais ton cœur s’est déjà posé ailleurs où je ne suis pas,
Où les robes sont folles, surtout quand elles se déhanchent.
 
Qu’importe où tes yeux se tournent et où ils se posent,
C’est ce que tu as réveillé en moi-même qui m’interpelle.
La non réciprocité en amour c’est comme une prose,
Il faut que ça rime pour vivre l’amour universel.
 
Laisse-moi rêver par ton charme et ta séduction,
Que je suis tout près de toi où tu es mon authenticité.
Laisse-moi croire que tu es ma seule et unique raison,
Où enfin je peux m’épanouir et enfin vivre pour exister.

  Ton radieux visage est déjà la caresse de l’amour,
Comment ne pas se faire piéger dans ton filet invisible ?
J’éprouve le besoin de te dire je t’aime au grand jour,
Et qu’importe ta jeunesse, mais t’aimer n’est point nuisible.
 
Ta douce provocation est un charme qui ne m’épargne point,
Et je subis ce tendre jeu de séduction, toi le séducteur.
Tu remplis d’amour ma vie où l’ombre n’était que chagrin,
Et le sel aux lèvres comme la rose, tu bâtis ta belle demeure.
 
Ne me souffle pas à l’oreille un murmure attendrissant,
Ne crois pas ce que mon âme ait pu vouloir te dire.
Je sais tes yeux plus doux que les immenses océans,
Où ton visage s’y reflète où le bonheur éclos par ton sourire.
 
Ne joue pas impunément à braver les lois interdites,
Mais cherche en toi la belle étoile du berger.
Regarde en toi le grand bonheur où rien ne se discrédite,
Et vois le sourire du matin devant ton miroir figé.
 
Regarde les manières qui font ton charme de séducteur,
Regarde ta démarche nonchalante qui fait ton ravissement.
N’abuse pas de ton sourire qui arrive jusqu’à mon cœur,
Car, je subis ton regard plein de charme et d’innocence.
 
Je veux vivre la joie, la simplicité comme garde fou,
Et devenir pour toi, ton grand frère en guise d’un ami.
Ne regardons pas les pièges qui sont derrières nous,
Mais l’avenir devant soi où les guirlandes éclairent nos vies.
 
Laisse nos lèvres se rapprocher pour devenir baiser,
Accepte que l’amour nous étreignes pour ne former qu’un.
Accepte que le lit à deux places reçoive nos deux nudités,
Pour que l’échange mutuel de tendresse s’opère enfin.

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