Les
magnifiques jardins
secrets du cœur,
Embellissent l’amour d’essence divine.
Les fleurs sécrètent le baume de l’humeur,
Pour égayer l’existence que l’âme illumine.
Embellissent l’amour d’essence divine.
Les fleurs sécrètent le baume de l’humeur,
Pour égayer l’existence que l’âme illumine.
La sueur
de la présence masculine,
Octroie le raffinement d’un parfum délicat.
Mais la saveur du fruit monte aux narines,
Quand celui-ci est posé à même sur le plat.
Détourne-toi des goûts amers non subtils,
Et respire les senteurs qui s’exhalent de la nature.
Car une vie oisive ne peut que conduire à l’exil,
Et les senteurs des îles sont une essence pure.
Les odeurs nauséabondes n’apportent rien en soi,
Elles me répulsent, m’indiffèrent et m’écoeurent.
Je préfère le parfum d’une rose ou même d’un lilas,
Qui m’élève et m’inspire au-delà pour le meilleur.
Bien sûr, tous les printemps enchantent mon âme,
C’est comme une rosée délicate sur un frais champagne.
Ces couleurs et toutes ces odeurs m’offrent leur trame,
Pour un long chemin de vie où ces fleurs m’accompagnent.
Mais l’écume de l’océan fait chavirer ma barque,
Qui vogue et tangue au grès du vent doucement.
L’odeur est si bonne que plus rien à moi ne me traque,
Et je voyage vers mon azur de l’exil plus que librement.
Octroie le raffinement d’un parfum délicat.
Mais la saveur du fruit monte aux narines,
Quand celui-ci est posé à même sur le plat.
Détourne-toi des goûts amers non subtils,
Et respire les senteurs qui s’exhalent de la nature.
Car une vie oisive ne peut que conduire à l’exil,
Et les senteurs des îles sont une essence pure.
Les odeurs nauséabondes n’apportent rien en soi,
Elles me répulsent, m’indiffèrent et m’écoeurent.
Je préfère le parfum d’une rose ou même d’un lilas,
Qui m’élève et m’inspire au-delà pour le meilleur.
Bien sûr, tous les printemps enchantent mon âme,
C’est comme une rosée délicate sur un frais champagne.
Ces couleurs et toutes ces odeurs m’offrent leur trame,
Pour un long chemin de vie où ces fleurs m’accompagnent.
Mais l’écume de l’océan fait chavirer ma barque,
Qui vogue et tangue au grès du vent doucement.
L’odeur est si bonne que plus rien à moi ne me traque,
Et je voyage vers mon azur de l’exil plus que librement.
