

Que
d’être dans des doux nuages,
De
cotons de toutes les couleurs,
Sans
que cela me procure le moindre mal,
Dans
mon nouveau corps de lumière.
Oh ! Quelle extase d’état de conscience,
Et de liberté ai-je ? Je suis comme un oiseau,
Frêle, gentil, beau et j’irradie ma propre
lumière,
Douce, jolie et agréable. Elle est à la fois,
Comme de l’air et de l’eau, car elle est fluidique.
Elle est aussi magique, et je m’enroule avec elle,
Comme un enfant qui s’amuse avec son jouet,
Et je suis pure couleur à moi tout seul.
Oh ! Doux ciel,
Je retrouve ici, tous mes amis,
Ils n’ont pas changé,
Mais ils sont esprits.
Oh ! Perle de l’immensité,
Où mon âme est comme perdue,
Dans les joies du délice,
Des plaisirs subtils de la vie des cieux.
Oh ! Douce vie,
Où le Divin est mieux compris,
Dans chaque douce âme,
Où l’évolution a forgé tous
ces esprits,
Et où le mal n’a plus sa raison
d’être.
Oh ! Doux ciel,
Mon nouveau corps a le poids d’une plume,
Et je vole vers mes amis,
Pour recevoir d’eux par délicatesse,
La moindre caresse, la
moindre tendresse,
Pour m’enrichir à nouveau de l’amour,
Qui pour mon âme et mon esprit font fortunes.
Oh ! Douce musique,
Qui berce mon esprit et mon âme,
Et qui régale mes vibrations,
De lumière, mes vibrations d’évolution,
Par de tendres sereines émotions.
Oh ! Doux ciel, oh ! Douce vie,
J’ai retrouvé à la fois,
Mon ange et mon guide,
Qui m’a suivit pendant mon séjour terrestre,
Et qui m’a accueilli les bras ouverts,
Pour prendre son enfant chéri.
Quelles retrouvailles entre nous,
D’amitié, de joie, de tendresse et
d’amour.
Mais je sens en lui, dans son regard,
Que mon école sur Terre, n’est point finie,
Et qu’il va falloir que je redescende à nouveau.
Oh ! Apre ciel,
Oh ! Apre école de la Terre,
Me revoilà maintenant en ange déchu,
Car, il faut que je redescende,
Par l’échelle de l’incarnation,
Et m’incorporer à nouveau,
Dans un tout petit corps physique.
Oh ! Vous individus de la Terre,
Si vous faites connaissance,
Avec ce délicieux petit garçon gentil,
Doux, blond et aux yeux bleus,
Entre cinq et six ans qui pleure et qui rie,
Qui aime la vie et les animaux aussi,
Et qui soit capable de se souvenir,
De sa dernière vie.
Dites-vous bien que
c’est un ange qui vient du ciel,
Qu’il a tant d’amour à recevoir et
à prodiguer,
Et que toute sa richesse d’âme,
A été acquise par toutes ses vies,
Et représente, toute sa fortune d’esprit.
Amis de la Terre,
Pensez à chérir d’amour cet enfant
né,
Car, vous ne savez pas qui il est.
Mais je vous le dis en vérité,
C’est un ange emplit d’amour, de toute
loyauté,
De toute bonté et de toute beauté.

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